Vade retro. Até São nunca. Livra!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ainda se vai ver o mal que este homem nos fez.
9 a 1 , foi o resultado de um dos grandes males
quinta-feira, 29 de outubro de 2009
ADEUS AMIGO
quarta-feira, 28 de outubro de 2009
segunda-feira, 26 de outubro de 2009
DEVE SER BOM
A editora A Livros d' Hoje, leva a efeito no próximo dia 28 de Outubro de 2009, Quarta-Feira, pelas 18h00, em Lisboa, na Academia Militar, uma sessão de lançamento do livro de João José Brandão Ferreira, intitulado «Em Nome da Pátria», o livro terá a apresentação do Prof. Adriano Moreira.
Penso que a entrada é livre
NO REINO de SEVERIANO
Devia haver isto em todas as unidades militares , pintado com a cara do senhor que hoje , finalmente , recebeu guia de marcha para onde nunca deveria de ter saído
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Faustino o Graxa
ANGOLA, UÉ
"Des militaires angolais sont signalés, depuis le week-end dernier, dans le territoire de Tshela, au Bas-Congo, où ils occupent les villages de Kata Kangu et Mbata Yema, à environ 200 kilomètres de Matadi. Le prétexte choisi pour justifier cette énième invasion de cette partie du pays est la chasse aux rebelles du FLEC (Front de Libération de l’Enclave de Cabinda). Pour ce faire, ils ont fait du porte-à-porte, fouillant systématiquement toutes les cases des deux villages précités, où ils n’auraient trouvé aucun suspect. Terrorisés, leurs propriétaires ont trouvé le salut dans la fuite. Ce nouveau safari angolais dans cette province étonne, d’autant qu’il y a une semaine, une délégation ministérielle angolaise a séjourné à Kinshasa, pour convenir avec les autorités congolaises de la nécessité de stopper les mouvements réciproques d’expulsions des Congolais d’Angola et des Angolais de la République Démocratique du Congo. A en croire la lettre du président Dos Santos remise à cette occasion à son homologue Joseph Kabila, les peuples congolais et angolais avaient intérêt à préserver les relations d’amitié et de fraternité qu’ils entretiennent depuis des temps séculaires. Dans le souci d’harmoniser leurs vues sur les dossiers de l’immigration clandestine, de la fraude, de la criminalité, du trafic des drogues et du blanchiment d’argent, Kinshasa et Luanda ont annoncé la tenue, à la mi-novembre 2009, de la Grande Commission Mixte congolo-angolaise.
Mais, au vu de la situation que vient de créer l’armée angolaise dans le territoire de Tshela, les observateurs pensent que Luanda continue de se moquer de Kinshasa. En effet, aucun engagement allant dans le sens du respect de l’intégrité du territoire congolais, des accords de bon voisinage, des mêmes valeurs culturelles, de la coexistence pacifique, des recommandations de la SADC et de la CEEAC en rapport avec la libre circulation des personnes et des biens, n’est tenu par la partie angolaise. Tout se passe comme si Luanda avait un agenda caché, dont la toile de fond serait la spoliation des ressources naturelles congolaises, notamment le pétrole et le diamant, l’annexion de plusieurs portions du territoire congolais (cas des territoires de Kahemba et Mbanza-Ngungu sous le couvert d’un prétendu mauvais positionnement des bornes frontalières et de celui de Tshela sous prétexte de traquer des résistants cabindais) et pourquoi pas son diktat militaire. En dépit des promesses renouvelées de Luanda de vivre en paix avec Kinshasa, des actes répétés de provocation armée indiquent que l’on a affaire à un « voisin » belliciste. On sait que l’Angola n’est pas contente de la manière dont la RDC vient de négocier la paix dans sa partie Est avec ses mouvements rebelles internes mais également avec ses voisins ougandais et rwandais. Il y a aussi le contentieux de la facture des guerres de 1996, 1997 et 1998, dont la hauteur est du domaine des accords passés avec les « libérateurs ». On croit savoir que le leadership sous-régional que vient de s’octroyer Joseph Kabila au niveau de la CEEAC et de la SADC ferait ombrage au maître de Luanda, qui a certainement peur de voir renaître de ses cendres l’ogre congolais. On rappelle qu’il y a quelques semaines, les mêmes villages avaient été envahis par l’armée angolaise, à la poursuite des combattants du FLEC. Des exactions avaient été commises sur des villageois et villageoises congolais, dont beaucoup avaient dû fuir pour aller se cacher dans les forêts environnantes. Après le retour de l’accalmie, le gouverneur du Bas-Congo, Simon-Floribert Mbatshi Batshi, avait dû se rendre sur place pour réconforter les compatriotes ayant perdu des biens, blessés ou des êtres chers dans les actes de barbarie de l’armée angolaise. L’année dernière, plusieurs incursions de l’armée angolaise avaient été enregistrées dans des villages du territoire de Tshela, jetant dans la forêt des milliers de citoyens congolais. Selon des sources provinciales, soldats et policiers angolais patrouillent aux postes frontaliers depuis la dernière vague d’expulsions des ressortissants angolais de plusieurs villes et localités congolaises, notamment Tshela, Moanda, Boma, Matadi, Songololo, Kimpese, Kimpangu, Kwilu-Ngongo, etc. Des sources provinciales contactées par Le Phare estiment que la situation sécuritaire du Bas-Congo relève du pouvoir central. D’où, elles exhortent les autorités de Kinshasa à réagir avec vigueur, comme elles l’ont fait dernièrement dans le cas des expulsions massives des Congolais d’Angola, à travers des notes diplomatiques mais aussi des plaintes en bonne et due forme auprès des instances internationales, telle le Conseil de Sécurité de l’Onu, continentale, telle que l’Union Africaine, et sous-régionale, telles que la CEEAC (qui tient présentement ses assises à Kinshasa) ou la SADC, dont notre pays assume la présidence. "
2009-10-22
Mais, au vu de la situation que vient de créer l’armée angolaise dans le territoire de Tshela, les observateurs pensent que Luanda continue de se moquer de Kinshasa. En effet, aucun engagement allant dans le sens du respect de l’intégrité du territoire congolais, des accords de bon voisinage, des mêmes valeurs culturelles, de la coexistence pacifique, des recommandations de la SADC et de la CEEAC en rapport avec la libre circulation des personnes et des biens, n’est tenu par la partie angolaise. Tout se passe comme si Luanda avait un agenda caché, dont la toile de fond serait la spoliation des ressources naturelles congolaises, notamment le pétrole et le diamant, l’annexion de plusieurs portions du territoire congolais (cas des territoires de Kahemba et Mbanza-Ngungu sous le couvert d’un prétendu mauvais positionnement des bornes frontalières et de celui de Tshela sous prétexte de traquer des résistants cabindais) et pourquoi pas son diktat militaire. En dépit des promesses renouvelées de Luanda de vivre en paix avec Kinshasa, des actes répétés de provocation armée indiquent que l’on a affaire à un « voisin » belliciste. On sait que l’Angola n’est pas contente de la manière dont la RDC vient de négocier la paix dans sa partie Est avec ses mouvements rebelles internes mais également avec ses voisins ougandais et rwandais. Il y a aussi le contentieux de la facture des guerres de 1996, 1997 et 1998, dont la hauteur est du domaine des accords passés avec les « libérateurs ». On croit savoir que le leadership sous-régional que vient de s’octroyer Joseph Kabila au niveau de la CEEAC et de la SADC ferait ombrage au maître de Luanda, qui a certainement peur de voir renaître de ses cendres l’ogre congolais. On rappelle qu’il y a quelques semaines, les mêmes villages avaient été envahis par l’armée angolaise, à la poursuite des combattants du FLEC. Des exactions avaient été commises sur des villageois et villageoises congolais, dont beaucoup avaient dû fuir pour aller se cacher dans les forêts environnantes. Après le retour de l’accalmie, le gouverneur du Bas-Congo, Simon-Floribert Mbatshi Batshi, avait dû se rendre sur place pour réconforter les compatriotes ayant perdu des biens, blessés ou des êtres chers dans les actes de barbarie de l’armée angolaise. L’année dernière, plusieurs incursions de l’armée angolaise avaient été enregistrées dans des villages du territoire de Tshela, jetant dans la forêt des milliers de citoyens congolais. Selon des sources provinciales, soldats et policiers angolais patrouillent aux postes frontaliers depuis la dernière vague d’expulsions des ressortissants angolais de plusieurs villes et localités congolaises, notamment Tshela, Moanda, Boma, Matadi, Songololo, Kimpese, Kimpangu, Kwilu-Ngongo, etc. Des sources provinciales contactées par Le Phare estiment que la situation sécuritaire du Bas-Congo relève du pouvoir central. D’où, elles exhortent les autorités de Kinshasa à réagir avec vigueur, comme elles l’ont fait dernièrement dans le cas des expulsions massives des Congolais d’Angola, à travers des notes diplomatiques mais aussi des plaintes en bonne et due forme auprès des instances internationales, telle le Conseil de Sécurité de l’Onu, continentale, telle que l’Union Africaine, et sous-régionale, telles que la CEEAC (qui tient présentement ses assises à Kinshasa) ou la SADC, dont notre pays assume la présidence. "
2009-10-22
Le Fare
domingo, 25 de outubro de 2009
NO REINO de SEVERIANO
Património do Estado abandonado na Apúlia
2009-10-20
Manuel Moreira no JN
“A Pátria honrai que a Pátria vos contempla”. Nos anos cinquenta do século passado foi instalada nas terras mais férteis do concelho de Esposende, uma unidade militar que na época era pomposamente denominada “Estação Rádio Goniométrica Aero Naval de Apúlia”. Dividida por três parcelas.
Para a sua implantação foram tomados em favor do Estado cerca de 14 hectares de terra arável da melhor qualidade, centenas de pequenas parcelas de terreno, algumas o único património de muitos habitantes de Apúlia. Foram distribuídos pelos seus donos legítimos alguns míseros tostões… Caladinhos. - A Bem da Nação. Situemo-nos (1947/1950)
Quando os proprietários dos terrenos vizinhos não utilizados na área expropriada, volvidos alguns anos, necessitaram de construir casas ou anexos, muros ou poços, esbarraram na Lei da Servidão Militar que viria ampliar as preocupações desta gente.
Depois de funcionar cerca de cinquenta anos a Estação Rádio Naval de Apúlia, depois denominada Almirante Ramos Pereira, foi progressivamente desguarnecida e deixada ao abandono a partir de 2001.
Desde então: - Vários governantes de diversos coloridos políticos, ao tomar posse, vão prometendo exercer e dignificar as funções que lhes são confiadas; altos dignitários civis e militares juram “defender a Pátria e as suas instituições”e, outros eleitos se “esvaziam” …
Esta situação foi já abordada por uma senhora deputada na Assembleia da República em 2006, salvo erro. Sem resposta plausível.
Na parcela edificada existem muitos edifícios de alto valor arquitectónico com fachadas em granito lavrado em cantaria e que estão sufocados por densa vegetação; as residências literalmente afogadas em silvados que sobem aos telhados; os antigos jardins, as veredas, os espaços desportivos e de lazer, já ninguém sabe onde existiram; a piscina é um viveiro de animais anfíbios; o aquartelamento, o refeitório, as messes, as garagens com as portas abertas; restos de mobiliário e arquivos pelo chão; arruamentos, pavimentos e muros dos edifícios atapetados de silvas. Animais deixados morrer à míngua…
Através dessas instalações drenam as águas pluviais da área situada a nascente da estação radionaval (Criaz – Apúlia). Acresce a inexistente limpeza das bermas da Estrada Nacional nº 13 que canalizam aquelas águas. A obstrução das condutas subterrâneas vai, aqui e além, provocando grandes erupções e inundando a maior parte dos terrenos de cultivo, do lado poente da área edificada.
Continua entretanto vigente e actualizada a Lei da Servidão Militar, (Decreto nº 19/2002 de 27 de Maio), que continua a condicionar o licenciamento de obras. Daí as perguntas seguintes:
Se são tão importantes as infra-estruturas que justificam esta Lei que espartilha e divide Apúlia, porque não acautela este desleixo que faz corar qualquer cidadão que se preze?
Como se sentirão os marinheiros que lá escoaram alguns dos melhores dias das suas vidas?
Porque se anunciam grandes empreendimentos neste país, ao mesmo tempo se deixa deslizar para a ruína o património do Estado tão valioso, edificado há apenas seis décadas?
Novos investimentos… E os que já não são novos, cuja manutenção custaria apenas “trocos” comparados com aqueles?
Este nosso Portugal é tão rico de bens que possa dar-se a estes “luxos”?
Nós: - Os proprietários expropriados; os cidadãos contribuintes; os vizinhos afectados pela Lei da Servidão Militar; os ex-marinheiros da Armada; a gente briosa de Apúlia que ainda tem vergonha na cara… Nós, gostaríamos de saber.
Para a sua implantação foram tomados em favor do Estado cerca de 14 hectares de terra arável da melhor qualidade, centenas de pequenas parcelas de terreno, algumas o único património de muitos habitantes de Apúlia. Foram distribuídos pelos seus donos legítimos alguns míseros tostões… Caladinhos. - A Bem da Nação. Situemo-nos (1947/1950)
Quando os proprietários dos terrenos vizinhos não utilizados na área expropriada, volvidos alguns anos, necessitaram de construir casas ou anexos, muros ou poços, esbarraram na Lei da Servidão Militar que viria ampliar as preocupações desta gente.
Depois de funcionar cerca de cinquenta anos a Estação Rádio Naval de Apúlia, depois denominada Almirante Ramos Pereira, foi progressivamente desguarnecida e deixada ao abandono a partir de 2001.
Desde então: - Vários governantes de diversos coloridos políticos, ao tomar posse, vão prometendo exercer e dignificar as funções que lhes são confiadas; altos dignitários civis e militares juram “defender a Pátria e as suas instituições”e, outros eleitos se “esvaziam” …
Esta situação foi já abordada por uma senhora deputada na Assembleia da República em 2006, salvo erro. Sem resposta plausível.
Na parcela edificada existem muitos edifícios de alto valor arquitectónico com fachadas em granito lavrado em cantaria e que estão sufocados por densa vegetação; as residências literalmente afogadas em silvados que sobem aos telhados; os antigos jardins, as veredas, os espaços desportivos e de lazer, já ninguém sabe onde existiram; a piscina é um viveiro de animais anfíbios; o aquartelamento, o refeitório, as messes, as garagens com as portas abertas; restos de mobiliário e arquivos pelo chão; arruamentos, pavimentos e muros dos edifícios atapetados de silvas. Animais deixados morrer à míngua…
Através dessas instalações drenam as águas pluviais da área situada a nascente da estação radionaval (Criaz – Apúlia). Acresce a inexistente limpeza das bermas da Estrada Nacional nº 13 que canalizam aquelas águas. A obstrução das condutas subterrâneas vai, aqui e além, provocando grandes erupções e inundando a maior parte dos terrenos de cultivo, do lado poente da área edificada.
Continua entretanto vigente e actualizada a Lei da Servidão Militar, (Decreto nº 19/2002 de 27 de Maio), que continua a condicionar o licenciamento de obras. Daí as perguntas seguintes:
Se são tão importantes as infra-estruturas que justificam esta Lei que espartilha e divide Apúlia, porque não acautela este desleixo que faz corar qualquer cidadão que se preze?
Como se sentirão os marinheiros que lá escoaram alguns dos melhores dias das suas vidas?
Porque se anunciam grandes empreendimentos neste país, ao mesmo tempo se deixa deslizar para a ruína o património do Estado tão valioso, edificado há apenas seis décadas?
Novos investimentos… E os que já não são novos, cuja manutenção custaria apenas “trocos” comparados com aqueles?
Este nosso Portugal é tão rico de bens que possa dar-se a estes “luxos”?
Nós: - Os proprietários expropriados; os cidadãos contribuintes; os vizinhos afectados pela Lei da Servidão Militar; os ex-marinheiros da Armada; a gente briosa de Apúlia que ainda tem vergonha na cara… Nós, gostaríamos de saber.
Nota: Porque é que a Marinha não aproveita este magnifico espaço , como faz a Royal Navy ?
sábado, 24 de outubro de 2009
FAZ FALTA
EU FICO
sexta-feira, 23 de outubro de 2009
CÁ NÃO HÁ DISTO
Os acordos entre Brasil e França possibilitaram contratos para a construção de quatro submarinos de propulsão convencional e o desenvolvimento do projeto de um submarino de propulsão nuclear. A Marinha do Brasil deve receber 16 novos helicópteros, e dois dos três finalistas na seleção para o novo caça da Força Aérea Brasileira (FAB) têm versões navais.
Se tivesse sido elaborada por militares, a Estratégia Nacional de Defesa (END) seria um documento mais conservador. Há muito habituadas a "racionalizar a penúria", as Forças Armadas brasileiras costumam elaborar estimativas austeras, com relação às suas necessidades materiais e aos recursos que deveriam ser disponibilizados para atendê-las.
O modesto Programa de Reaparelhamento da Marinha (PRM) incluía metas e projetos para obtenção de meios flutuantes, aéreos e de fuzileiros navais até 2014. O novo e ambicioso Plano de Equipamento e Articulação da Marinha (PEAMB) cobre o período 2010-30 e divide-se em três fases, visando a metas de curto (2010-14), médio (2015-22) e longo prazo (2023-30).
Para que os projetos previstos no PEAMB sejam efetivamente executados, será necessário um fluxo contínuo de recursos financeiros. Recentemente, o ministro da Defesa estimou o custo anual dos planos decorrentes da END em 0,7% do Produto Interno Bruto (PIB), até 2030. Resistirão tais planos a uma possível onda de "austeridade fiscal"?
Devemos considerar também as oscilações da política internacional. Os acordos assinados resultam de uma parceria estratégica entre o Estado brasileiro e o Estado francês? Serão executados integralmente, mesmo após mudanças de governo? Poderão ser prejudicados por pressões de outros países?
Entre as inovações propostas pela END, está o fortalecimento do ministro da Defesa, o qual passaria a nomear os comandantes das três forças singulares e a promover seus oficiais-generais - atribuições até hoje privativas do comandante supremo das Forças Armadas, que é o presidente da República.
É aconselhável que o ministro da Defesa e os comandantes da Marinha, do Exército e da Aeronáutica, assim como o chefe do Estado-Maior de Defesa, sejam todos da inteira confiança do presidente. Na opinião de constitucionalistas, o exercício do comando supremo, assim como a nomeação dos chefes militares, são atribuições privativas e indelegáveis.
As propostas de reformulação do Estado-Maior de Defesa (EMD) e de criação de estados-maiores regionais ou núcleos de comandos conjuntos aparentemente resultam da leitura apressada do modelo de estrutura militar adotado nos países da Organização do Tratado do Atlântico Norte (OTAN).
Em tal modelo, o comandante de cada uma das forças singulares - qualquer que seja a denominação deste cargo - é o chefe do respectivo Estado-Maior. A nomeação de ministros ou secretários civis para pastas militares sempre foi prática comum nesses países, mesmo antes da criação de um ministério ou departamento unificado para a Defesa.
Com relação ao desenvolvimento do Poder Naval, a END não diverge muito da visão defendida pela Marinha. A prioridade conferida inicialmente à tarefa de negação do uso do mar, em relação às de projeção de poder e controle de áreas marítimas, pode ser atribuída à necessidade de justificar a construção de submarinos com propulsão nuclear.
A ênfase na Amazônia e no Atlântico Sul, como áreas prioritárias para a defesa nacional, foi mantida. Duas áreas marítimas consideradas essenciais, a faixa litorânea de Santos a Vitória (onde se localizam enormes reservas petrolíferas) e a área em torno da foz do Amazonas, constituem "chokepoints" (áreas focais) de grande importância estratégica.
O desenvolvimento seqüencial visaria à constituição de uma Marinha oceânica polivalente, com capacidade expedicionária, constituída por duas Esquadras e dois núcleos anfíbios, operando ao sul e ao norte da cintura Natal-Dacar - além dos meios que constituem as forças distritais e os serviços de hidrografia, navegação e segurança do tráfego aquaviário.
Além da obtenção de novos meios flutuantes, está prevista a modernização dos existentes, inclusive o navio-aeródromo São Paulo. Este poderá ser substituído, depois de 2025, por um NAe capaz de operar com aeronaves modernas - possivelmente produzidas pela indústria aeronáutica nacional.
Algum tipo de navio-aeródromo de helicópteros de assalto (NAeHA) também poderá ser construído para a Marinha do Brasil. A capacidade anfíbia deve ser ampliada, assim como a de apoio logístico móvel. A guerra de minas é um setor especializado e pouco mencionado, cujos meios também necessitam de renovação e modernização.
Poderá ser construída uma centena de navios até 2030. No período até 2014, devem ser feitas encomendas de diversas unidades baseadas em projetos já em uso em outros países. Entre 2015 e 2030, acredita-se que sejam construídos meios projetados no Brasil, com tecnologia e experiência obtidas na fase anterior.
A Marinha deve incrementar sua capacidade de comando e controle, pela ampliação do Sistema de Gerenciamento da Amazônia Azul (SisGAAz), com sensores fixos e móveis, e pela modernização das comunicações via satélite. A ampliação da base industrial de defesa, com ênfase nos setores nuclear, cibernético e espacial, é uma prioridade da END.
Esta estratégia resulta de iniciativa do próprio presidente da República. É a primeira vez desde o século passado, que tal coisa ocorre em nosso país. Em 2030, o Brasil terá maior destaque no mundo e será mais forte e próspero do que hoje. Suas Forças Armadas devem preparar-se desde já, a fim de enfrentar os desafios do futuro.
Eduardo Italo Pesce
Especialista em Relações Internacionais, professor no Centro de Produção de Uerj e colaborador permanente do Cepe/EGN. (Centro estudos estratágicos-Escola de guerra naval)
Se tivesse sido elaborada por militares, a Estratégia Nacional de Defesa (END) seria um documento mais conservador. Há muito habituadas a "racionalizar a penúria", as Forças Armadas brasileiras costumam elaborar estimativas austeras, com relação às suas necessidades materiais e aos recursos que deveriam ser disponibilizados para atendê-las.
O modesto Programa de Reaparelhamento da Marinha (PRM) incluía metas e projetos para obtenção de meios flutuantes, aéreos e de fuzileiros navais até 2014. O novo e ambicioso Plano de Equipamento e Articulação da Marinha (PEAMB) cobre o período 2010-30 e divide-se em três fases, visando a metas de curto (2010-14), médio (2015-22) e longo prazo (2023-30).
Para que os projetos previstos no PEAMB sejam efetivamente executados, será necessário um fluxo contínuo de recursos financeiros. Recentemente, o ministro da Defesa estimou o custo anual dos planos decorrentes da END em 0,7% do Produto Interno Bruto (PIB), até 2030. Resistirão tais planos a uma possível onda de "austeridade fiscal"?
Devemos considerar também as oscilações da política internacional. Os acordos assinados resultam de uma parceria estratégica entre o Estado brasileiro e o Estado francês? Serão executados integralmente, mesmo após mudanças de governo? Poderão ser prejudicados por pressões de outros países?
Entre as inovações propostas pela END, está o fortalecimento do ministro da Defesa, o qual passaria a nomear os comandantes das três forças singulares e a promover seus oficiais-generais - atribuições até hoje privativas do comandante supremo das Forças Armadas, que é o presidente da República.
É aconselhável que o ministro da Defesa e os comandantes da Marinha, do Exército e da Aeronáutica, assim como o chefe do Estado-Maior de Defesa, sejam todos da inteira confiança do presidente. Na opinião de constitucionalistas, o exercício do comando supremo, assim como a nomeação dos chefes militares, são atribuições privativas e indelegáveis.
As propostas de reformulação do Estado-Maior de Defesa (EMD) e de criação de estados-maiores regionais ou núcleos de comandos conjuntos aparentemente resultam da leitura apressada do modelo de estrutura militar adotado nos países da Organização do Tratado do Atlântico Norte (OTAN).
Em tal modelo, o comandante de cada uma das forças singulares - qualquer que seja a denominação deste cargo - é o chefe do respectivo Estado-Maior. A nomeação de ministros ou secretários civis para pastas militares sempre foi prática comum nesses países, mesmo antes da criação de um ministério ou departamento unificado para a Defesa.
Com relação ao desenvolvimento do Poder Naval, a END não diverge muito da visão defendida pela Marinha. A prioridade conferida inicialmente à tarefa de negação do uso do mar, em relação às de projeção de poder e controle de áreas marítimas, pode ser atribuída à necessidade de justificar a construção de submarinos com propulsão nuclear.
A ênfase na Amazônia e no Atlântico Sul, como áreas prioritárias para a defesa nacional, foi mantida. Duas áreas marítimas consideradas essenciais, a faixa litorânea de Santos a Vitória (onde se localizam enormes reservas petrolíferas) e a área em torno da foz do Amazonas, constituem "chokepoints" (áreas focais) de grande importância estratégica.
O desenvolvimento seqüencial visaria à constituição de uma Marinha oceânica polivalente, com capacidade expedicionária, constituída por duas Esquadras e dois núcleos anfíbios, operando ao sul e ao norte da cintura Natal-Dacar - além dos meios que constituem as forças distritais e os serviços de hidrografia, navegação e segurança do tráfego aquaviário.
Além da obtenção de novos meios flutuantes, está prevista a modernização dos existentes, inclusive o navio-aeródromo São Paulo. Este poderá ser substituído, depois de 2025, por um NAe capaz de operar com aeronaves modernas - possivelmente produzidas pela indústria aeronáutica nacional.
Algum tipo de navio-aeródromo de helicópteros de assalto (NAeHA) também poderá ser construído para a Marinha do Brasil. A capacidade anfíbia deve ser ampliada, assim como a de apoio logístico móvel. A guerra de minas é um setor especializado e pouco mencionado, cujos meios também necessitam de renovação e modernização.
Poderá ser construída uma centena de navios até 2030. No período até 2014, devem ser feitas encomendas de diversas unidades baseadas em projetos já em uso em outros países. Entre 2015 e 2030, acredita-se que sejam construídos meios projetados no Brasil, com tecnologia e experiência obtidas na fase anterior.
A Marinha deve incrementar sua capacidade de comando e controle, pela ampliação do Sistema de Gerenciamento da Amazônia Azul (SisGAAz), com sensores fixos e móveis, e pela modernização das comunicações via satélite. A ampliação da base industrial de defesa, com ênfase nos setores nuclear, cibernético e espacial, é uma prioridade da END.
Esta estratégia resulta de iniciativa do próprio presidente da República. É a primeira vez desde o século passado, que tal coisa ocorre em nosso país. Em 2030, o Brasil terá maior destaque no mundo e será mais forte e próspero do que hoje. Suas Forças Armadas devem preparar-se desde já, a fim de enfrentar os desafios do futuro.
Eduardo Italo Pesce
Especialista em Relações Internacionais, professor no Centro de Produção de Uerj e colaborador permanente do Cepe/EGN. (Centro estudos estratágicos-Escola de guerra naval)
Uerj-Univ.Estado do Rio Janeiro
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marinha estrangeira
SÓ CÁ FALTAVA ESTA
O que andam a fazer ás arvores no Jamor?
Vão lá e vejam a razia que foi.
Será para as lareiras do pessoal?
Vão lá e vejam a razia que foi.
Será para as lareiras do pessoal?
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escarnio e maldizer
quinta-feira, 22 de outubro de 2009
MUDA A HORA
Proximo dia 25 de Outubro, Domingo, ás 0200 atrasa para as 0100 ,i.e. , o pessoal dorme mais uma horita.
Este relogio já não está no Cais do Sodré , mas o que estava(e onde está , a proposito?) foi instalado , nada mais nada menos , que , na parte electrica e assessórios , pelo engº Werner von Siemens.
Tudo isto chegou a Lisboa , vindo de Hamburgo , em princípios de 1914 , embarcado no vapor alemão Bahia, que pouco depois seria apresado
BIBLIOTECA CACINE
A CACINE conseguiu recuperar este belo exemplar para a sua Câmara.
Edição do autor, o conhecido Comandante Jaime do Inso , com uma tiragem de 1500 exemplares ,e é prefaciado pelo Conde de Penha Garcia , em 1931.
Nota curiosa: O conde foi eleito deputado pelo circulo de Macau e Timor. Nunca lá tinha ido e continuou a não ir
VALHA-NOS STA BÁRBARA
Ministro de Estado e dos Negócios Estrangeiros Luís Filipe Marques Amado Ministro de Estado e das Finanças Fernando Teixeira dos Santos Ministro da Presidência Manuel Pedro Cunha da Silva Pereira Ministro da Defesa Nacional Doutor Augusto Santos Silva Ministro da Administração Interna Rui Carlos Pereira Ministro da Justiça Alberto de Sousa Martins Ministro da Economia, da Inovação e do Desenvolvimento José António Fonseca Vieira da Silva Ministro da Agricultura, do Desenvolvimento Rural e das Pescas António Manuel Soares Serrano Ministro das Obras Públicas, Transportes e Comunicações António Augusto da Ascenção Mendonça Ministra do Ambiente e do Ordenamento do Território Dulce dos Prazeres Fidalgo Álvaro Pássaro Ministra do Trabalho e da Solidariedade Social Maria Helena dos Santos André Ministra da Saúde Ana Maria Teodoro Jorge Ministra da Educação Isabel Alçada (Maria Isabel Girão de Melo Veiga Vilar) Ministro da Ciência, Tecnologia e Ensino Superior José Mariano Rebelo Pires Gago Ministra da Cultura Maria Gabriela da Silveira Ferreira Canavilhas Ministro dos Assuntos Parlamentares Jorge Lacão Costa Secretário de Estado da Presidência do Conselho de Ministros João Tiago Valente Almeida da Silveira
NO QUE DÃO AS JANEIRAS
Ciclicamente , e desde que o PS retirou do seu "programa histórico"que acabaria com o Colégio Militar (vejam só a importancia do CM que tinha um artigo proprio no documento que os intelectuais socialistas-não havia nenhum operário , que se saiba,-escreveram em Bad Mustereifel) , aparecem ondas na comunicação dita social sobre o que se passa na Instituição Escolar sita no velho Largo da Luz. Sobre o Colégio Moderno , o Liceu Camões ou o antigo Liceu Salvador Correia , não aparece nada.
É so sobre o Colégio Militar, e quando dá jeito, para distrair.
Desta vez foi mais uma .
O CM tem 207 anos, o seu Fundador jaz, ao que parece , nas catacumbas da Igreja de São Paulo, e os seus ex-alunos(salvo algumas , e muitissimo raras excepçoes) serviram , e servem , a Pátria, as Instituições , os Valores, a Ética e a Honra.
Traição , perfídia , desonra, hipocrisia e chulanço não fazem parte da sua cartilha.
Assim , e uma vez mais , lá apareceu gente, que para gente se fazer , denunciou na opinião publica e na comunicação , dita social, a ela sempre associada , desmandos criminosos que , secularmente , mesmo com exageros , foram considerados tradições , e que normalmente , para não dizer sempre, acabavam numa amizade para a vida.
E quem se junta a esta minoria? Necessáriamente outras minorias , que do CM só inveja têm, e sabia e normalmente apadrinhadas por causídicos ricos , milionários mesmo (que se saiba sem qualquer dádiva publica aos mais necessitados) e que brincam com a sociedade e os cidadãos defendendo uma vida e vivendo outra.
Mas o programa de hoje na TVI ( que repito nunca existiria se fosse o Colégio Moderno), foi magnifico , porque calou toda a gente, exceptuando os tais fanáticos como o Professor(será?) Fernando Rosas ,do BE , que quer ir para a rua com os Pais das "vítimas" , num ridiculo lacrimejante.
É so sobre o Colégio Militar, e quando dá jeito, para distrair.
Desta vez foi mais uma .
O CM tem 207 anos, o seu Fundador jaz, ao que parece , nas catacumbas da Igreja de São Paulo, e os seus ex-alunos(salvo algumas , e muitissimo raras excepçoes) serviram , e servem , a Pátria, as Instituições , os Valores, a Ética e a Honra.
Traição , perfídia , desonra, hipocrisia e chulanço não fazem parte da sua cartilha.
Assim , e uma vez mais , lá apareceu gente, que para gente se fazer , denunciou na opinião publica e na comunicação , dita social, a ela sempre associada , desmandos criminosos que , secularmente , mesmo com exageros , foram considerados tradições , e que normalmente , para não dizer sempre, acabavam numa amizade para a vida.
E quem se junta a esta minoria? Necessáriamente outras minorias , que do CM só inveja têm, e sabia e normalmente apadrinhadas por causídicos ricos , milionários mesmo (que se saiba sem qualquer dádiva publica aos mais necessitados) e que brincam com a sociedade e os cidadãos defendendo uma vida e vivendo outra.
Mas o programa de hoje na TVI ( que repito nunca existiria se fosse o Colégio Moderno), foi magnifico , porque calou toda a gente, exceptuando os tais fanáticos como o Professor(será?) Fernando Rosas ,do BE , que quer ir para a rua com os Pais das "vítimas" , num ridiculo lacrimejante.
A intervenção , vivida e absorvida , do Chefe dos Ex-alunos e de uma ex-deputada e Mãe de alunos , arrumaram a mal feitoria que estava montada.
O tiro furou o dedo grande do pé dos delatores e doeu mais do que a "gota".
Mas por outro lado o CM pôs-se a jeito neste teatrinho das vaidades , com a vaidade e ganancia do seu Director (que felizmente hoje não apareceu e se deixou substituir por um sereno , calmo e objectivo Coronel) , que por querer dar nas vistas e conquistar uma estrela levou o Colégio a cantar Janeiras ao 1º Ministro , a aparecer na revista "Caras" ,e , se o deixassem numa novela da SIC .
Mas por outro lado o CM pôs-se a jeito neste teatrinho das vaidades , com a vaidade e ganancia do seu Director (que felizmente hoje não apareceu e se deixou substituir por um sereno , calmo e objectivo Coronel) , que por querer dar nas vistas e conquistar uma estrela levou o Colégio a cantar Janeiras ao 1º Ministro , a aparecer na revista "Caras" ,e , se o deixassem numa novela da SIC .
E assim foi o relato de um Camarada de curso do nosso Imediato, que nos fez via radio, e que reproduzimos na íntegra.
Mas eu não resisto a perguntar:
O que é que a Associação de Sargentos tem a haver com isto , para se pronunciar em dramático e pungente comunicado á Nação?
quarta-feira, 21 de outubro de 2009
terça-feira, 20 de outubro de 2009
CLUB
Foi criticado , na Câmara da CACINE , os Anais e de que maneira.
Penso até que os ultimos sei lá quantos números ainda jazem ali para um armário sem terem circulado por falta de interesse.
Mas ontem , creio , chegou o nº 1 a 3 de Jan a Mar de 2009 e a diferença é abissal.Claro que pode melhorar , mas isso os sócios têm obrigação de ajudar , mas temos de reconhecer a diferença.
Bravô
Penso até que os ultimos sei lá quantos números ainda jazem ali para um armário sem terem circulado por falta de interesse.
Mas ontem , creio , chegou o nº 1 a 3 de Jan a Mar de 2009 e a diferença é abissal.Claro que pode melhorar , mas isso os sócios têm obrigação de ajudar , mas temos de reconhecer a diferença.
Bravô
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oficiais de marinha
O NOVO SEVERIANO
O Senhor Ten.Coronel Piloto Aviador Brandão Ferreira , ilustre e corajoso comentador para a área castrense (e pena é que as Televisões nunca o convidem) , meditando sobre a substituição a brevíssimo prazo do ministro da defesa , deixou-me com náuseas e insónias que dificilmente vencerei sem um calmante forte.
Diz o emérito militar que poderá ser uma Senhora ( só para imitar Zapatero ) e será uma bela hipótese (Ana Paula?) , Miranda Calha ( bom Homem e sabedor , mas penso já perdeu a embraiagem) e , continua o articulista , o actual secretário de estado .
Bom. Aí até os capilares traseiros se me eriçam e certamente que pensarei em mudar de País
ou desligar-me de tudo e de todos e hibernar os anos que esse pobre governo durar.
ou desligar-me de tudo e de todos e hibernar os anos que esse pobre governo durar.
Rezarei a Mafoma para que o ilustre Camarada da Força Aérea não acerte o vaticínio, bem como o DN(ex-diário de referência) que dizia ser o Sr. José Lello.
Vade retro
domingo, 18 de outubro de 2009
ANGOLA, UÉ
Sebastião Kipaci, empresário angolano radicado há 59 anos em Boma, expulso da região do Baixo-Congo, classifica de “ingrata” a posição das autoridades da RDC de forçarem a saída de angolanos que viviam em situação regular naquele país.O empresário, que controlava 160 trabalhadores no ramo da construção civil em Boma, regressou ao país com apenas uma calça e camisa no corpo, com um par de chinelos nos pés. Conta que, devido aos maus-tratos a que foram sujeitos os angolanos, não pretendem mais regressar àquele país.Sebastião Kipaci diz que a forma como regressaram à pátria acaba por ser “um mal necessário, porque era um sonho que estava adiado e hoje, com o fim da guerra, devemos participar nas tarefas de reconstrução nacional em curso no país”. Ele conta ainda que o pior só não aconteceu, devido à pronta intervenção dos militares angolanos, que estão baseados no quartel-general de Baki, no Muanda.“Os nossos militares, por assistirem várias barbaridades protagonizadas pelas autoridades congolesas contra nós, decidiram sair à rua, fazendo disparos para o ar, como forma de repelir os saques e pilhagens dirigidos às nossas casas, no município do Muanda, localidade que faz fronteira com a província de Cabinda”, explicou.A comunidade angolana expulsa está chocada com a atitude xenófoba protagonizada por indivíduos que até há pouco tempo se declaravam um povo irmão e que partilha a mesma fronteira, com usos e costumes semelhantes, sublinhou Maria Mediana, 98 anos, que residia naquele país há mais de 50 anos.
COISAS BOAS
sexta-feira, 16 de outubro de 2009
VOU PRA MINISTRO, PÁ
RECUERDOS
Os 230
E tambem já levaram os assessores , motoristas , estagiários , imprensas.
E há gente que já lá esteve , mas em outras bancadas , a defender outras coisas , mas a xuxar o mesmo....E não tem vergonha. Até se riem e falam da honra que têm em lá voltar
E há outros que disseram gato e sapato do Partido ...por onde agora lá estão.
E há outros que disseram gato e sapato do Partido ...por onde agora lá estão.
Desconheço se nos magnificos restaurantes do Parlamento há Alka Seltzer , mas deve haver certamente vomitórios ocultos , para esconder as vergonha.
A maioria vai entrar muda e sair calada.
E o Povo sabe que bastavam 50.....e sem mordomias
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escarnio e maldizer
quinta-feira, 15 de outubro de 2009
NAO DÁ P´RA CRER
Não , não se faz o que este cavalheiro hoje fez.
Bem ou mal este cavalheiro foi repescado ás profundezas dos baronetes do PSD e posto como "Cabeça de Lista em Braga" , terra onde foi Reitor da Universidade.
Foi eleito para o Parlamento Português.
Hoje , data da posse dos eleitos (deverá haver algo mais nobre em política?) o cavalheiro renuncia ao mandato.Repito RENUNCIA ao mandato para que o povo de Braga o elegeu.
Ora isto é uma fraude , pôr-se um nome só para ganhar votos(de mim só tirava) e , depois do sufrágio o senhor manda os votos ás malvas e avança outro.
Mas o que é isto?
Mas deste incansável trabalhador tudo se espera, incluindo o que aí virá
quarta-feira, 14 de outubro de 2009
NO QUE DÃO AS JANEIRAS
VALIA A PENA?
Para quê fazer um video tão desagradável sobre nós , os Portugueses , os Tugas , que até gostavam muito dela ?
E são tão burros , os Tugas , que , se calhar , continuam a gostar dela mesmo depois de verem o video em que ela lhes chama burros.
E são tão burros , os Tugas , que , se calhar , continuam a gostar dela mesmo depois de verem o video em que ela lhes chama burros.
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escarnio e maldizer
terça-feira, 13 de outubro de 2009
PROS E CONTRAS
Ontem na madrugada na RTP1
Parece que foi o princípio do cair da chinela.
Se aqueles são os Directores dos nossos principais orgãos de imprensa "vou ali e já volto".
E os seus patrões , que os conservam , devem ser discipulos do Capone.
Que tristeza.
Mas isto há de ir ao fundo e esta gente há de ir para o buraco donde saiu.
Não sei é se cá estarei para ver
segunda-feira, 12 de outubro de 2009
NO REINO de SEVERIANO
Ex-combatentes: Nova lei reduz drasticamente complementos de pensão
Corte nos suplementos dá chuva de protestos Milhares de antigos combatentes foram confrontados no início deste mês com a redução dos suplementos de pensão. Em causa está a entrada em vigor da nova lei que restringe o complemento a um montante máximo de 150 euros por ano. Inconformados com a situação, muitos ex-combatentes reclamaram junto do Ministério da Defesa e das associações.
“Há uma chuva de cartas. Muitos combatentes foram apanhados de surpresa e sofreram reduções nos suplementos entre 50 a 70 euros”, afirmou José Nunes, presidente da Associação dos Combatentes do Ultramar.
O Ministério da Defesa nega ter recebido qualquer queixa sobre o valor dos suplementos, mas José Nunes garantiu ao CM que contactou o Ministério, ainda que informalmente, para relatar o descontentamento dos antigos combatentes: “Telefonei ao departamento de apoio aos antigos combatentes para reclamar da situação e disseram-me que estavam a receber muitas queixas.”
Devido a constrangimentos financeiros, o Governo decidiu atribuir os suplementos com base no tempo de serviço. Por isso, criou três escalões: 75 euros (até 11 meses); 100 euros (entre 12 e 23 meses); 150 euros (mais de 24 meses). Mas as alterações implicam, segundo o CDS-PP, um corte drástico nos suplementos.
O CM questionou, sem sucesso, o Ministério sobre o número de ex-combatentes cujo suplemento foi reduzido. O Ministério sublinhou apenas que o “universo de beneficiários aumenta substancialmente” e que o “sistema é mais justo e financeiramente sustentável”.
"HÁ UM SENTIMENTO DE INJUSTIÇA"
O presidente da Associação dos Combatentes do Ultramar Português (ACUP), José Nunes, criticou ontem os cortes nos suplementos de pensão dos ex-combatentes e alertou para o facto de muitos se sentirem "injustiçados".
É o caso dos antigos militares que prestaram serviço na Guiné. "Foram combatentes que estiveram sujeitos a situações de maior perigosidade e num clima propício a doenças, mas cumpriram a sua missão, que no máximo durava 22 meses. E agora, mais de 95% não consegue receber o escalão máximo. Estes combatentes sentem-se injustiçados e revoltados", explicou ao CM José Nunes.
Para o presidente da ACUP, o último escalão deveria ser atribuído aos militares que cumpriram a sua missão, independentemente do tempo prestado.
Face às queixas manifestadas, a Associação, revelou José Nunes, está a ponderar avançar com uma "manifestação ou um abaixo-assinado" para que a lei seja alterada.
"É LAMENTÁVEL A INSENSIBILIDADE SOCIAL DO PS"
O deputado do CDS-PP João Rebelo lamentou a "insensibilidade social do PS" ao cortar os suplementos de pensão dos ex-combatentes e garantiu que o seu partido vai exigir que a "lei regresse à sua fórmula anterior". Segundo João Rebelo, com a lei que entrou em vigor este ano mais de 80 por cento dos ex-combatentes vão ter os seus suplementos reduzidos entre 30 a 50 por cento.
"Isto é lamentável, porque estamos a falar de pessoas que esperavam que lhes fosse feita justiça, são pessoas que vivem com dificuldades", sublinhou João Rebelo. O dirigente do CDS revelou ainda que o seu partido tem recebido muitas queixas por parte de ex-combatentes, que no início deste mês foram confrontados com o corte nos suplementos.
SAIBA MAIS
EMIGRANTES
Cerca de quatro mil emigrantes não vão beneficiar da contagem do tempo de serviço militar por Portugal não ter convenções com países como a Venezuela.
400 MIL
ex-combatentes têm direito a receber um suplemento de pensão.
100 M
de euros era, em 2008, a dívida do Ministério da Defesa à Segurança Social e à Caixa Geral de Aposentações pelo pagamento dos suplementos"
Corte nos suplementos dá chuva de protestos Milhares de antigos combatentes foram confrontados no início deste mês com a redução dos suplementos de pensão. Em causa está a entrada em vigor da nova lei que restringe o complemento a um montante máximo de 150 euros por ano. Inconformados com a situação, muitos ex-combatentes reclamaram junto do Ministério da Defesa e das associações.
“Há uma chuva de cartas. Muitos combatentes foram apanhados de surpresa e sofreram reduções nos suplementos entre 50 a 70 euros”, afirmou José Nunes, presidente da Associação dos Combatentes do Ultramar.
O Ministério da Defesa nega ter recebido qualquer queixa sobre o valor dos suplementos, mas José Nunes garantiu ao CM que contactou o Ministério, ainda que informalmente, para relatar o descontentamento dos antigos combatentes: “Telefonei ao departamento de apoio aos antigos combatentes para reclamar da situação e disseram-me que estavam a receber muitas queixas.”
Devido a constrangimentos financeiros, o Governo decidiu atribuir os suplementos com base no tempo de serviço. Por isso, criou três escalões: 75 euros (até 11 meses); 100 euros (entre 12 e 23 meses); 150 euros (mais de 24 meses). Mas as alterações implicam, segundo o CDS-PP, um corte drástico nos suplementos.
O CM questionou, sem sucesso, o Ministério sobre o número de ex-combatentes cujo suplemento foi reduzido. O Ministério sublinhou apenas que o “universo de beneficiários aumenta substancialmente” e que o “sistema é mais justo e financeiramente sustentável”.
"HÁ UM SENTIMENTO DE INJUSTIÇA"
O presidente da Associação dos Combatentes do Ultramar Português (ACUP), José Nunes, criticou ontem os cortes nos suplementos de pensão dos ex-combatentes e alertou para o facto de muitos se sentirem "injustiçados".
É o caso dos antigos militares que prestaram serviço na Guiné. "Foram combatentes que estiveram sujeitos a situações de maior perigosidade e num clima propício a doenças, mas cumpriram a sua missão, que no máximo durava 22 meses. E agora, mais de 95% não consegue receber o escalão máximo. Estes combatentes sentem-se injustiçados e revoltados", explicou ao CM José Nunes.
Para o presidente da ACUP, o último escalão deveria ser atribuído aos militares que cumpriram a sua missão, independentemente do tempo prestado.
Face às queixas manifestadas, a Associação, revelou José Nunes, está a ponderar avançar com uma "manifestação ou um abaixo-assinado" para que a lei seja alterada.
"É LAMENTÁVEL A INSENSIBILIDADE SOCIAL DO PS"
O deputado do CDS-PP João Rebelo lamentou a "insensibilidade social do PS" ao cortar os suplementos de pensão dos ex-combatentes e garantiu que o seu partido vai exigir que a "lei regresse à sua fórmula anterior". Segundo João Rebelo, com a lei que entrou em vigor este ano mais de 80 por cento dos ex-combatentes vão ter os seus suplementos reduzidos entre 30 a 50 por cento.
"Isto é lamentável, porque estamos a falar de pessoas que esperavam que lhes fosse feita justiça, são pessoas que vivem com dificuldades", sublinhou João Rebelo. O dirigente do CDS revelou ainda que o seu partido tem recebido muitas queixas por parte de ex-combatentes, que no início deste mês foram confrontados com o corte nos suplementos.
SAIBA MAIS
EMIGRANTES
Cerca de quatro mil emigrantes não vão beneficiar da contagem do tempo de serviço militar por Portugal não ter convenções com países como a Venezuela.
400 MIL
ex-combatentes têm direito a receber um suplemento de pensão.
100 M
de euros era, em 2008, a dívida do Ministério da Defesa à Segurança Social e à Caixa Geral de Aposentações pelo pagamento dos suplementos"
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Faustino o Graxa
CÁ NÃO HÁ DISTO
Eu gostaria de primeiramente agradecer ao comitê Nobel por este prêmio, o maior reconhecimento que um estadista pode receber. Como eu já disse no dia em que o prêmio foi anunciado, não acho que mereço estar na companhia de pessoas que promoveram tanta transformação no mundo, como as laureadas com este prêmio. Depois de refletir muito sobre o assunto, não sinto que possa aceitá-lo em meu nome apenas".
"Mas irei aceitá-lo em nome dos maiores guardiões da paz mundial do último século - os homens e mulheres do Exército, Marinha, Força Aérea e Fuzileiros Navais dos Estados Unidos".
"Mas irei aceitá-lo em nome dos maiores guardiões da paz mundial do último século - os homens e mulheres do Exército, Marinha, Força Aérea e Fuzileiros Navais dos Estados Unidos".
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politica internacional
QUEM PERDEU?
Primeiro as televisões e essas miseráveis empresas de sondagens a soldo
Segundo o BE .Nem Lisboa nem Porto.E em Salvaterra é a Rapariga e não o Bloco, o Louçã ou o Portas.
Terceiro a política e , uma vez mais , as leis eleitorais. Ficou quase tudo na mesma , até os acusados e cilindrados pelos jornalistas .
Quarto os Portugueses , uma vez mais. Com esta gente não vamos a sítio nenhum.
Deux notes:
Macário ganhou por causa do "Faro é Faro", de Apolinário, que os "Gato" ridicularizaram? Teria graça se assim fosse , mas se calhar foi.
E não foi Costa que ganhou Lisboa , mas Manuel Alegre. Isso parece óbvio
domingo, 11 de outubro de 2009
ERMELO
sábado, 10 de outubro de 2009
NO COMMENTS
CÁ NÃO HÁ DISTO
Regata Escola Naval reúne 800 embarcações na Baía de Guanabara
O maior evento náutico da América Latina deverá reunir este ano mais de 800 embarcações na Baía de Guanabara. A tradicional Regata Escola Naval chega a sua 64ª edição no próximo dia 11 de outubro.
O maior evento náutico da América Latina deverá reunir este ano mais de 800 embarcações na Baía de Guanabara. A tradicional Regata Escola Naval chega a sua 64ª edição no próximo dia 11 de outubro.
A regata, criada em 1946 com o nome de Taça Escola Naval, representa uma grande confraternização entre velejadores. Cerca de dois mil tripulantes são esperados, alguns deles importantes nomes da vela no Brasil, além de competidores de diferentes nacionalidades. Participam desde grandes veleiros de oceano aos monotipos, além de diversas modalidades de canoagem. A" premiação" dos vencedores acontece no dia 20 de outubro, durante uma confraternização na Escola Naval. Aberto ao público, o evento deverá levar à Ilha de Villegagnon cerca de cinco mil visitantes. A programação conta com diferentes atrações, como exposições de grande variedade de material militar da Marinha, incluindo equipamentos de mergulho e paraquedismo, helicópteros, mísseis, carros de combate e barracas de um hospital de campanha. . Destaque também para as apresentações da Banda de Música e do “Pelotão Elétrico” dos Fuzileiros Navais, e a exposição de carros antigos.
Cá não há disto. Mas podia haver
sexta-feira, 9 de outubro de 2009
VERGONHA
DESCRÉDITO
Ontem com a romena que ninguém conhece para a literatura e hoje com este verdadeiro escândalo de imbecilidade ao escolher o Presidente Obama para o Nobel da Paz.
Até fica mal ao Homem, isto.
Os Nobel estão quase a ficar como o Diário de Noticias, i.e. , a perder a credibilidade e a referência.
quarta-feira, 7 de outubro de 2009
VERGONHA
quinta-feira, 1 de outubro de 2009
HEROIS
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